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Един превъзходен и изключително богат в мистиката си сонет от Стефан Маларме (1842-1898), преведен както дойде от смирения ви слуга.
Le soleil, sur le sable, ô lutteuse endormie,
En l'or de tes cheveux chauffe un bain langoureux
Et, consumant l'encens sur ta joue ennemie,
Il mêle avec les pleurs un breuvage amoureux.
Dans ce blanc Flamboiement l'immuable accalmie
T'a fait dire, attristée, ô mes baisers peureux,
«Nous ne serons jamais une seule momie
Sous l'antique désert et les palmiers heureux!»
Mais ta chevelure est une rivière tiède,
Où noyer sans frissons l'âme qui nous obsède
Et trouver ce Néant que tu ne connais pas! ...
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